lundi 30 mars 2009

Rapport de force

Les capitalistes obéissaient aux actionnaires et aux banques, lorsque ces derniers étaient les principaux bailleurs de fonds des grandes entreprises. L'intervention de l'État était considérée contre-productive, une entrave à la croissance et au libre-marché. Espérons que ces jours sont derrière nous. Il est grand temps que l'État pose le pied par terre et le poing sur la table pour contrôler les capitalistes. Ils n'auront pas le choix, qui viendra à leurs secours sinon l'État ?

Bravo à Barack Obama pour avoir exiger la démission du président de GM !

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